Pour obtenir le mastering de vos tracks rien de compliqué, cela s’effectue en quelque simples étapes.

 

• Prenez contact par E-mail ou téléphone
• Enregistrez mon RIB
• Effectuez votre virement bancaire
• Uploadez vos tracks

 

Voilà dans les grandes lignes la marche à suivre, mais vous trouverez plus de précisions dans ce FAQ à Préparation au Mastering et À propos des services et tarifs.

 

Sur williamsmastering.com, je vous propose deux types de services, Mastering et Consulting. En ce qui concerne le service de Mastering, il s’agit d’un service tout inclus avec un tarif unique de 30 Euros par track. Pour ce tarif vous pouvez fournir soit une piste stéréo, soit des stems de vos tracks à vous de voir quel est le choix le plus judicieux.

 

Un service online ne vous permettant pas par définition d’assister aux séances de mastering, il serait assez injuste de vous facturer les différentes révisions pouvant s’avérer nécessaires à l’obtention d’un résultat vous apportant pleine et entière satisfaction. Nous échangerons donc jusqu’à obtention d’un résultat qui vous convienne. ( Dans des limites raisonnables que je me laisse évidemment la liberté de définir au cas par cas, pour éviter tout abus ).

 

La marche à suivre pour obtenir le mastering de vos tracks passe d’abord par un premier contact par E-mail ou téléphone pour cerner vos attentes et établir le montant de la prestation ( Devis disponible sur demande ). Une fois que l’on s’est mis d’accord, vous n’avez plus qu’à enregistrer mon RIB ( RIB disponible sur la page CONTACT ) et effectuer votre virement bancaire. À réception des fonds, je vous confirme le paiement et je commence à travailler sur vos tracks.

 

Une fois vos tracks masterisées et validées, je vous enverrai un lien Wetransfert par E-mail pour le téléchargement. Il vous sera délivré d’office la version Studio Master de vos tracks ( même fréquence d’échantillonnage et profondeur de bit que vos fichiers sources ( ex: 24bit / 96Khz ). Si vous désirez obtenir les versions CD Master de vos tracks ( 16bit / 44.1Khz ) ou un fichier DDP pour vos services de duplications ( CD ) merci de le préciser, car ils ne sont délivrés que sur demande.

 

Pour le service de Consulting, il couvre un large spectre de besoins. De l’analyse de vos mix, aux conseils pour investir dans du matériel ou vous aider à élaborer un projet de home studio. Faire appel aux conseils d’une personne ayant plus de vingt ans d’expérience dans le monde de l’audio pro reste la stratégie gagnante pour mener à bien vos projets, économiser du temps et de l’argent. Le service de Consulting se paie à l’heure au tarif de 30 Euros de l’heure. N’hésitez pas à me contacter par E-mail ou par téléphone pour me décrire vos besoins afin que je vous établisse un devis. Vous trouverez toutes mes coordonnées sur la page CONTACT. 

Voici quelques conseils et recommandations, car il y a un certain nombre de choses à savoir et à faire avant de m’envoyer vos mix pour un mastering.

 

Premièrement, il est important que vous soyez confiant en ce qui concerne le rendu de vos mix et que vous ne soyez pas dans l’attente que le mastering soit la solution pour régler des problèmes non résolus. Si les traitements appliqués lors du mastering peuvent en résoudre un certain nombre et au-delà, faire sonner mieux et plus fort vos mix, gardez en tête que je ne suis malheureusement pas magicien.

 

Si vous avez répondu positivement au paragraphe précédent, il est venu le moment de vous demander s’il est plus pertinent de m’envoyer une version stéréo ou des stems de vos mix. C’est à votre préférence, il n’y a pas de règle en la matière. Des stems peuvent être un bon point de départ pour traiter un matériel plus complexe et offrir plus de flexibilité pour traiter certains aspects avec plus de contrôle. C’est potentiellement un bon moyen de gagner du temps et d’aller plus loin dans les traitements sans engendrer de dommages collatéraux. Mais une piste stéréo sera la plupart du temps un choix tout aussi pertinent.

 

Veillez à laisser un peu de marge ( headroom ) en terme de niveau de sortie sur votre master bus, un niveau crête entre -1 et -3 DBFS sera suffisant, l’essentiel étant que le niveau crête ne clip pas et reste en dessous du 0 DBFS.

 

Si vous utilisez un limiteur sur la piste master de votre STAN (Station de travail audionumérique), merci de le désengager pour préserver la dynamique de vos mix et me permettre de disposer d’un matériel audio adéquat pour le mastering. Si pour des raisons artistiques vous avez un compresseur sur votre bus master, pas de soucis, veillez seulement à m’en informer.

 

Lors de l’export de vos tracks veillez à conserver la même fréquence d’échantillonnage et profondeur de bit que votre projet. N’utilisez aucune sorte de procédé de dithering ou de noise shaping. Exportez idéalement en 24 bit / 44.1 Khz ou plus, jusqu’en 24 bit / 192 Khz au format .WAV.

 

N’hésitez pas à laisser quelques secondes de silence à la fin de vos tracks afin de préserver les queues de réverbes et d’être certain de ne pas couper une partie utile du matériel audio. En ce qui concerne les fondus de fin c’est à votre convenance, vous pouvez vous en charger ou bien me déléguer cette tache dans la mesure ou vous me fournissez les indications nécessaires.

 

Dans le cas où vous m’enverriez des stems, par prévoyance, veillez à les importer dans une nouvelle cessions de votre STAN après export afin de vérifier que ceux-ci soient conformes et que lorsqu’ils jouent ensemble vous retrouviez avec exactitude votre mix en le comparant avec votre export stéréo de référence.

 

À minima il vous faudra me fournir quelques informations relatives à vos tracks. Comme le nom de chaque track, le nom de l’album, le nom de l’artiste ou du groupe, le genre musical. Dans la mesure où il s’agit d’un album et que vous désirez un fichier DDP, il vous faudra également me fournir l’ordre de lecture des tracks, le temps en seconde que vous voulez potentiellement entre chacune d’entre elles (pregap), les codes ISRC et UPC/EAN si vous en disposez.

 

Si vous désirez afficher le logo de Williams Mastering sur votre site web, pochette d’album ou tout autre support pour nous soutenir, vous pouvez télécharger un dossier contenant 4 versions différentes de celui-ci. Le lien de téléchargement est disponible sur la page CONTACT.

Pour uploader vos tracks, vous devrez vous rendre sur la page UPLOAD sur laquelle vous verrez apparaitre un bouton Wetransfert sur lequel je vous invite à cliquer. Vous serez alors automatiquement redirigé vers ma page WeTransfert Pro. L’accès à cette page pro vous permet de me transférer des fichiers jusqu’à 200 Go par envoi.    

 

Il est « Important » que vous mettiez vos fichiers « .WAV » dans un dossier nommé avec votre nom d’artistes ou de groupe et que vous le compressiez pour obtenir un dossier ayant une extension en « .ZIP » ou « .RAR » avant de les transférer via WeTransfert.

Le mastering est la dernière étape technique du processus de production d’une œuvre musicale avant sa diffusion. Il vient après l’enregistrement et le mixage et avant la commercialisation et la diffusion d’un titre. Le mastering consiste à obtenir un produit conforme aux standards de l’industrie et apporte les derniers correctifs et ajustements nécessaires pour atteindre un rendu de qualité professionnel.

 

Il est assez fréquent que ce processus soit mal compris, c’est pourquoi il est important de chercher ici à le démystifier et à l’expliquer. Il faut comprendre que le mastering revêt autant une dimension artistique et esthétique que technique et fait appel à tout une chaîne de matériel spécifique ainsi qu’à un environnement acoustiquement maîtrisé pour atteindre son but.

 

La première étape pour un ingénieur de mastering est d’analyser et d’écouter en détail à l’aide d’un système de qualité les productions qui lui sont confiées et de déterminer les besoins. Suite à cette étape d’analyse, on corrige les défauts et on optimise un certain nombre de facteurs, comme la dynamique, l’équilibre tonal et bien plus encore. On normalise ensuite les niveaux aux exigences des différents standards et on réalise les exports pour les différents formats et médiums.

 

Si le mastering peut régler un spectre assez large de problématiques, c’est néanmoins avec une amplitude relativement restreinte qu’il le peut sous peine de créer des dommages collatéraux. Le travail à partir de stems peut étendre les possibilités, mais trouve également ses limites.

 

Il y a deux expressions anglo-saxonnes peu flatteuses mais néanmoins assez drôles qui résument assez bien les choses à ce sujet : Garbage in, garbage out et you can’t polish a turd but you can roll it in glitter. Je vous laisse le soin d’aller voir la traduction pour ceux qui ne comprennent pas l’anglais.

 

Alors si on devait comparer un titre à un objet manufacturé par un artisan, comme par exemple une chaise en bois. Il faudrait envisager le mastering comme la dernière étape de finitions mettant en œuvre un ponçage avec un grain assez fin et l’application d’une couche de vernis pour sublimer l’objet. Il ne s’agit donc pas ici de reconstruire une partie ou de rallonger un pied trop court.

 

Tout ça pour dire, que ce n’est pas un processus magique qui permettrait de faire sonner correctement un mauvais mix. Par contre, le mastering appliqué à un titre bien produit, enregistré et mixé, permettra assurément de gagner ce petit plus qui fera toute la différence. Assurant que les auditeurs les plus exigeants puissent apprécier vos productions à leur juste valeur et veiller à leur portabilité sur tous les systèmes de diffusions rencontrés.

Le stem mastering est le fait de disposer pour le mastering de plusieurs sous-groupes stéréo : ( Kick, Snare, reste de la batterie, Basse, voix lead, effets, reste de l’instrumentation… ) Généralement de 4 à 8. Cela permet de pouvoir effectuer des traitements et de régler certains problèmes de manière plus spécifique, en limitant les dommages collatéraux.

 

Ce peut être un vrai plus pour des mix relativement complexes et riches. Par exemple traiter les fréquences graves d’un Kick sans modifier pour autant celles de la basse ou bien traiter les sibilances sur une voix sans pour autant compresser dans le même temps les fréquences ciblées d’une guitare ou d’une snare. Les stems offrent une vraie liberté de travail pour agir efficacement et en toute transparence.

 

Mais ne vous méprenez pas, le stem mastering n’est pas plus la solution miracle que le choix le plus pertinent pour tous les cas de figures, et l’exportation d’une piste stéréo traditionnelle conviendra parfaitement dans la majorité des cas. Le choix de me fournir des stems ou une piste stéréo de votre mix vous appartient, même si après écoute, je peux également être amené à vous suggérer d’emprunter cette voie. L’essentiel est de pouvoir travailler dans les meilleures conditions pour atteindre le meilleur résultat. C’est pourquoi il n’y a pas de charge supplémentaire pour en bénéficier. De part le temps qu’il me fait gagner et d’autre part par les possibilités qu’il m’offre de produire un meilleur travail. Le stem mastering est autant une solution à mon bénéfice, qu’à celui du projet.

 

Exemple n°1:

stem 1 – Instrumentale

stem 2 – Chœurs 

stem 3 – Voix lead

+ Mix complet stéréo ( Pour référence)

 

Exemple n°2:

stem 1 – Kick

stem 2 – Snare

stem 3 – Reste de la batterie

stem 4 – Basse

stem 5 – Guitares

stem 6 – Reste de l’instrumentale

stem 7 – Chœurs

stem 8 – Voix lead

+ Mix complet stéréo ( Pour référence)

 

Note : 

Merci de ne pas oublier de garder le même point de départ pour chaque stem et de me fournir un export stéréo complet de votre mix en guise de référence.

Par prévoyance, veillez également à importer dans une nouvelle cessions de votre STAN / DAW vos stems après export afin de vérifier que ceux-ci soient conformes et que lorsqu’ils jouent ensemble vous retrouviez avec exactitude votre mix en le comparant avec votre export stéréo de référence.

 

Un studio de mastering hybride utilise une chaine de traitement dit hybride, composée d’éléments analogiques et numériques pour le traitement de vos tracks. À Williams Mastering, nous avons fait le choix d’une solution hybride pour profiter du meilleur des deux mondes mais comme nous sommes attachés à avoir un workflow efficace, nous avons sélectionné principalement des éléments analogiques de haute qualité contrôlables numériquement via des plugins dédiés pour bénéficier d’une solution de recall aussi pratique qu’avec des plugins logiciel, un signal audio traité à travers des circuits purement analogiques avec un contrôle précis et rappelable instantanément. 

 

Vous profiterez donc du meilleur de ce que l’analogique et le numérique peuvent vous offrir ici.

Un fichier DDP ( Disc Description Protocol ) est une maquette numérique de votre futur CD. C’est le format professionnel requis par les usines de pressage de CD pour la duplication. Le fichier DDP vous permet de réaliser une maquette comprenant tout un ensemble de paramètres et de méta données comme : les fondus de fin, les espaces entre tracks ( pregap ), l’ordre de passage mais aussi d’inclure le nom des tracks, de l’album, de l’artiste…

 

Les fichiers DDP sont un ensemble de données spécifiques, exploitables seulement via une application dédiée. Mais quand je vous fournis votre projet sous ce format, je vous fournis également un lecteur sous forme d’un exécutable pour Mac et PC qui vous permettra autant de pouvoir le lire que de pouvoir graver le projet et en faire un CD audio classique.

 

Mon nom est Thomas Williams, bien qu’ayant un nom anglo-saxon, je suis français, né dans le sud de la France proche de Marseille en 1980, d’un père britannique et d’une mère française. Bordé par la musique depuis mes plus jeunes années grâce à un père et un grand-père mélomane (pop/rock anglaise et musique classique), j’ai moi-même commencé à en faire au début des années 90. Principalement de la guitare et du chant dans différentes formations musicales. En 1997 je découvre l’informatique musicale et m’y lance à corps perdu, réalisant rapidement mes premiers enregistrements et mix. Et à partir de 2001, j’ai commencé à proposer mes services de manière professionnelle, comme ingénieur du son et à travailler pour diverses structures en tant que free-lance.

 

En 2006, je me suis lancé dans l’entrepreneuriat en créant avec un premier associé, arrangeur compositeur diplômé en musicologie, mon propre studio d’enregistrement. Rapidement nous avons été rejoints par 3 autres associés. Un juriste ( ayant travaillé pour Universal et Mezzo… ), un coach vocal et un web master. L’aventure s’est poursuivie jusqu’en 2016, année où j’ai fini par quitter la région Marseillaise et fermer mon studio d’enregistrement pour aménager sur Montpellier et me consacrer quasi exclusivement au mastering, avant de déménager de nouvaux début 2019, cette fois-ci dans le Var. 

 

Cela fait plus de 20 années que j’enregistre, mix et masterise pour tous types de projets, de la post-production pour du film, comme pour des artistes indépendants ou des labels et ce dans de nombreux genres ( rap, reggae, RnB, trip hop, électro, minimale, jazz, classique, heavy metal, rock progressif, fusion… ) Comme tout le monde, j’ai mes préférences en termes de styles musicaux mais j’ai toujours trouvé du plaisir à travailler dans tous les styles. Un bon moyen assurément de s’enrichir humainement et musicalement. De manière générale j’aime découvrir de nouveaux horizons et être surpris et en ce sens chaque projet devient une opportunité de faire de belles découvertes et de plonger dans de nouveaux univers.

 

Alors au plaisir de découvrir le vôtre prochainement.

 

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